vendredi 30 août 2024

Après neuf ans de folies destructives, les Canadiens se réveillent enfin .....

 Comprendre la chute de Justin Trudeau

Les mauvais sondages s’accumulent pour Justin Trudeau. Normalement, il ne sera plus premier ministre après les prochaines élections fédérales.

On sent chez les Canadiens un ras-le-bol. Mais un ras-le-bol de quoi?

De ce personnage aux capacités intellectuelles incertaines, au charisme de moniteur de camp de vacances?

Probablement. Il y a des limites à se faire gouverner par un GO.

Légèreté

Mais le rejet est plus profond.

Justin Trudeau a surtout parachevé la transformation du Canada en pays laboratoire, dans une vaste entreprise d’ingénierie sociale.

On en connaît les paramètres: sous Trudeau, le Canada a fait le pari d’une immigration massive sans respecter un instant ses capacités d’intégration.

Conséquence: le Canada est même devenu inhospitalier envers les Canadiens qui ont quasiment été chassés du marché immobilier. La classe moyenne en souffre.

S’ajoute à cela un multiculturalisme fanatique favorisant la ghettoïsation des communautés immigrées et défavorisant l’intégration. Le Canada est devenu un pays sans identité – seuls les Québécois résistent à ce mouvement d’effacement identitaire programmé.

Faut-il rappeler que les Canadiens se font régulièrement dire qu’ils habitent un pays qui ne serait pas le leur? C’est la fameuse théorie des territoires non cédés. Il y a quand même des limites à se faire insulter ainsi.

Il ne faut pas oublier que le gouvernement Trudeau a endetté le Canada maladivement. Il a créé les conditions d’une crise économique dont nous payerons tous le prix. La prospérité canadienne est artificielle, et pourrait s’écrouler.

Laboratoire

Il a multiplié aussi les programmes sociaux dans des champs de compétence provinciale – c’est-à-dire qu’il a multiplié les dépenses dans des secteurs d’activité qui ne relèvent aucunement du gouvernement fédéral.

Le Canada est devenu un pays laboratoire, pratiquant un néo-socialisme multiculturaliste qui appauvrit ceux qui l’habitent en plus d’effacer leur identité, car il croit devenir le modèle idéal pour l’humanité.

Aujourd’hui, ce mythe se craquelle. Il était temps.

M.B-C



Le minable ne récolte que ce qu'il a semé, la destruction du Canada ......

 C’est le jour de la marmotte pour Trudeau, qui s’accroche contre vents et marées

C’était le jour de la marmotte. Justin Trudeau a dit exactement la même chose à Halifax cette semaine qu’à Charlottetown, il y a un an.

L’an dernier, Trudeau avait découvert qu’il y avait une crise du logement au Canada et qu’il fallait qu’Ottawa fasse quelque chose!

Rien de bien concret ne s’était passé depuis... Et voilà qu’à nouveau cette année il découvre la même crise du logement! Cette fois-ci, il veut donner des terrains du fédéral aux entrepreneurs en construction pour leur permettre d’y ériger des logements sociaux.


Le problème, évidemment, c’est qu’il n’y a même pas un cabanon qui sera construit sur l’un ou l’autre de ces terrains avant les prochaines élections.

Un gouvernement qui crée des crises

Trudeau doit espérer que les électeurs oublieront que c’est lui qui est au pouvoir depuis neuf ans.

Les problèmes de pénurie de logements au Canada sont directement attribuables à la décision de Trudeau d’augmenter rapidement la population du Canada. Lors de son arrivée en 2015, nous étions environ 36 millions d’habitants au Canada, alors qu’aujourd’hui, la population frôle les 42 millions.

Comment peut-on ajouter six millions de personnes en neuf ans sans planifier les services de santé et d’éducation et, surtout, la disponibilité des logements?

Une injustice entre générations

Ce sont les générations futures qui paieront le prix de cette négligence et de cette incurie de Trudeau. C’est l’inverse du développement durable.

Depuis que Trudeau est là, ses commissaires à l’environnement et au développement durable ont souligné que le fédéral allait manquer à ses obligations de réduire nos émissions de gaz à effet de serre.

Et ce n’est pas tout! Alors qu’un des rares bons coups d’Ottawa était la promesse d’électrifier les transports, voilà que Trudeau annonce qu’il va imposer des tarifs de 100% sur les voitures électriques chinoises car, d’après lui, la Chine subventionne l’industrie des véhicules électriques!

Pourtant, le Canada et ses deux plus importantes provinces, l’Ontario et le Québec, ont décidé de subventionner le secteur des batteries pour véhicules électriques à hauteur de dizaines de milliards de dollars. On est qui pour donner des leçons?

Comment mettre fin aux énergies fossiles dans les transports si on bloque les voitures électriques bon marché? Dans les années 1970, après la crise du pétrole, le marché a fait en sorte que nos voitures soient dorénavant plus petites, moins énergivores.

Aujourd’hui, c’est le monde à l’envers! On contourne les règles du marché pour imposer aux Canadiens des voitures électriques plus larges et plus chères, mais qui seront fabriquées ici!

Ni les consommateurs ni l’environnement ne sortent gagnants de cette décision, qui n’est par ailleurs fondée sur aucune étude sérieuse.

Les Québécois souhaitent son départ

Les Québécois ne sont pas dupes. Le plus récent sondage Léger montre que 47% d’entre eux souhaitent la démission de Trudeau.

On a vu, aux États-Unis, à quel point un nouveau chef peut constituer une bouffée d'air frais, mais Trudeau, lui, semble convaincu qu’il est le seul à pouvoir battre Poilievre.

Malheureusement pour son parti, il s’accroche et bloque ainsi les Mark ulcairCarney de ce monde, autrement plus qualifiés que Trudeau.

L’ironie, c’est que Justin est en train de devenir la seule personne pouvant garantir l’élection des conservateurs de Pierre Poilievre.

Thomas Mulcair 




Le civisme s'apprend dès le jeune âge à la maison pour se développer à l'école......

 Quand l’incivilité triomphe, il est urgent d’agir

Les ailes jeunesse des partis politiques servent fort heureusement à brasser la cage. Pour la Commission de la Relève de la CAQ, c’est réussi. À une semaine de son congrès, elle prône l’instauration d’une vraie «culture du civisme» dans les écoles publiques. Bravo!

Notamment, par le vouvoiement des enseignants et du personnel. La responsabilisation des élèves intimidateurs ou violents par des formations obligatoires pour eux et leurs parents. La participation aux tâches d’entretien de leur école. Etc.

Le but? Refaire des écoles un lieu d’apprentissage sécuritaire et respectueux tout en «produisant» de futurs adultes conscients de l’importance vitale en société du respect de soi et des autres. Un beau rêve, quoi.

Il serait pourtant réalisable si le ministère de l’Éducation s’y mettait. Depuis des années, j’ai d’ailleurs moi-même signé plusieurs chroniques sur la montée inquiétante de l’incivilité et de l’éducation comme antidote.

Ce manque d’une courtoisie élémentaire, on le voit en fait partout. Sur les routes. Dans les transports. Les écoles. Les commerces. Jusque dans le réseau de santé, il arrive même que du personnel soit irrespectueux.

Il faut agir parce que l’incivilité est avant tout la face visible d’une société qui, sourdement, se déshumanise et ce faisant, se désolidarise.

Plus isolés que jamais

Ce phénomène s’incruste depuis bien avant la pandémie. Avec l’isolement social et les crises multiples qu’elle a provoqués, il gagne toutefois du terrain.

Et que dire des téléphones dits intelligents et de leurs écouteurs dont nous sommes esclaves? Ils nous isolent toujours plus de notre environnement et des autres. Ce qui, inévitablement, nous rend plus insensibles.

Cela dit, l’école ne peut pas tout faire. Les enseignants du réseau public, ces missionnaires modernes de l’âme, en ont déjà plein les baskets.

Il est pourtant urgent de leur donner des moyens concrets d’agir. Si l’école n’enseigne pas le civisme, qui le fera?

Les jeunes caquistes seraient sages d’interpeller aussi leur gouvernement sur d’autres maux qui minent le système d’éducation. Primo, cesser d’ignorer l’éléphant dans la pièce.

De rentrée en rentrée, notre réseau scolaire à «trois vitesses» – public régulier, public à projets particuliers et privé subventionné –, nourrit les inégalités sociales au lieu de les amoindrir.

Élément central

Le système scolaire québécois est de loin le plus inégalitaire au Canada. Pour la fierté, on repassera.

Deuxio, la faim. Sans programme universel d’alimentation dans les écoles, une minorité croissante d’élèves est incapable d’étudier et de réussir à la hauteur de ses capacités. C’est un déni de leur droit à l’éducation.

Tertio, la vétusté de nombreuses écoles publiques.

Enfin, l’intégration des nouveaux arrivants. Des compressions budgétaires obligent maintenant des écoles à annuler des classes de francisation. On en perd son latin.

Alors, qu’on se comprenne bien. Instaurer une culture du civisme dans nos écoles est un projet essentiel. Ça crève les yeux.

Pour donner aux Québécois un système scolaire digne d’une société aussi riche que la nôtre, il faudrait toutefois une volonté politique de fer pour le rendre tout d’abord nettement plus équitable socialement.

Le retour à une culture du civisme devrait bien entendu en être un élément central. Nul doute là-dessus.

Josée Legault







jeudi 29 août 2024

Caliss ! Y sont fabriqués avec quoi les gens d'aujourd'hui, en pâte à modeler ?

 Si t'es allergique à quelque chose, touches-y pas, mais criss la paix aux autres ....


https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2100652/agrumes-ecole-allergie-employee#:~:text=L'%C3%A9cole%20demande%20d'%C3%A9viter,sont%20pas%20accept%C3%A9s%20non%20plus.


Une école demande d’éviter les agrumes en raison de l’allergie sévère d’une employée




mercredi 28 août 2024

Aussi longtemps que le Québec restera dans le Canada, il n'y aura pas de laïcité, puisque la Gestapo de la Cour suprême du Canada y veillent .....

 La laïcité diluée et impuissante de la CAQ

On nous dit que nous vivons dans une société laïque... C’est faux! 

Au moment où Québec impose un cours de Culture et citoyenneté québécoise, on n’a jamais autant vu de religieux et de religieuses dans les rues de Montréal.

Même quand j’étais un enfant dans le Québec des années 1950, qui était encore très catholique, il n’y avait pas un si grand nombre de vêtements religieux.

On croisait parfois des prêtres et des sœurs, mais ils étaient peu nombreux.

Religion visible

Il y a deux siècles, le romancier américain Mark Twain plaisantait en disant qu’à Montréal, c’était la première fois qu’il se trouvait dans une ville où on ne pouvait pas lancer un caillou sans briser un carreau d’église.

Eh bien, maintenant, ces églises tombent en ruine... mais la religion est encore là, plus visible que jamais.

Les «saintes vierges» entièrement couvertes et les hommes vêtus à la façon de saint Joseph ne prient plus le petit Jésus et les mosquées pleines remplacent les églises vides, mais c’est encore la religion qui s’impose.

À la piscine, des femmes religieuses se baignent habillées ou en burkini... mais les fainéants qui se font bronzer la bedaine se disent: «Bof! Qu’est-ce que ça peut ben faire? On est dans un pays libre!»

Impuissance

Cette laïcité que la CAQ nous chante est impuissante.

Ainsi donc, nous apprend mon collègue Antoine Robitaille, le cours de culture et citoyenneté de la CAQ parle énormément des peuples autochtones et de la diversité, mais en mentionnant le moins possible le Québec et sa culture.

Pourquoi cette ridicule inaptitude à s’affirmer même pour un gouvernement soi-disant nationaliste?

Parce que le Québec a lui aussi adopté la religion woke, celle du politiquement correct, même si cela le condamne à devenir une nouvelle Louisiane.

Notre grand journaliste et pamphlétaire Olivar Asselin était prophétique lorsqu’il imaginait cette épitaphe pour notre nation: «Ci-gît un peuple mort de bêtise.»

Gilles Proulx






Quand défendrons-nous réellement le droit de TOUTES les femmes à exister et à être maîtresses d'elles-mêmes ?

 Femme, ferme ta gueule!

Imaginez si c’était des Noirs qu’on traitait de cette façon!


Comme vous l’avez probablement lu, les talibans en Afghanistan obligent maintenant les femmes, toutes les femmes, à cacher leur visage.

Et interdisent aux femmes de faire entendre leurs voix en public.

On ne veut pas te voir, on ne veut pas t’entendre.

Ta gueule, rase les murs et fais-toi le plus discrète possible.

Fais comme le gars dans la chanson de Brel: sois l’ombre de mon ombre, l’ombre de mon chien.

Coucouche panier.

Contente-toi d’ouvrir les jambes quand je vais te l’ordonner. Et de pondre de bons petits talibans à la chaîne.

LE COMBAT DE MULRONEY

Imaginez si c’était des Noirs qui étaient traités de cette façon.

Au moment où vous lisez ces lignes, le secrétaire général de l’ONU déchirerait sa chemise et tous les pays occidentaux s’allieraient pour mettre ce pays au ban de la communauté internationale.

Comme on l’a fait envers l’Afrique du Sud.

Mais ce sont des femmes...

Brian Mulroney s’est battu comme un diable dans l’eau bénite pour forcer l’Afrique du Sud à mettre fin à son régime raciste.

Lors d’un souper chez Denise Bombardier, monsieur Mulroney m’a raconté cette saga.

Il appelait Margaret Thatcher, puis son ami Ronald Reagan, et leur disait: «Allez, comportez-vous de façon digne, faites ce qu’il faut faire, mettez tout votre poids dans cette bataille, c’est une question de principe!»

C’était tout un homme, monsieur Mulroney.

Pas étonnant que le premier pays que Nelson Mandela ait tenu à visiter après sa sortie de prison fut le Canada. Le militant anti-apartheid savait qu’il devait une fière chandelle à notre premier ministre.

Vous pensez que Justin va mener une pareille charge contre l’Afghanistan?

Si oui, vous en fumez du bon.

Acheté illégalement.

L’ESCALIER

Ce qui me fait rire (en fait, ce qui me fait rager), c’est de voir des chroniqueuses qui n’ont jamais dit le moindre mot contre le voile jouer soudainement les vierges offensées.

Comme s’il n’y avait pas de lien entre le voile, puis l’abaya, puis la burqa, puis l’interdiction de parler en public!

Ces pseudo-féministes ne voient-elles pas qu’il n’y a qu’une différence de degré entre toutes ces choses, mais pas de nature?

Ce sont les marches du même escalier.

En bas, le voile simple. Chic et de bon goût. Vendu chez Prada ou chez Winners.

Et tout en haut, l’apartheid total.

Je vous rappelle que, comme l’a souvent dénoncé ma femme (qui est une vraie féministe, elle), l’hôtel de ville de Montréal accueille les touristes et les citoyens avec un dessin montrant deux hommes et une femme voilée.

Décision absurde et insultante qui n’a été dénoncée que par un seul parti politique, c’est-à-dire le Bloc Québécois.

Silence radio à Montréal. Silence radio à Québec.

Pourtant, c’est le même message.

Une femme honorable cache ses cheveux.

Une femme honorable fait preuve de pudeur dans sa façon de s’habiller.

Une femme honorable cache sa sexualité.

Une femme honorable cache ses courbes.

Ils nous ont fait accepter le voile.

Ils sont en train de nous faire accepter l’abaya.

Ils vont nous faire accepter la burqa.

En fait, on l’accepte déjà. Il y en a partout.

Petit train va loin.

Richard Martineau 



mardi 27 août 2024

Le Canada est le fossoyeur du Québec francophone ......

 C’est le régime canadien qui entretient nos chicanes

La remontée du PQ, la reconstruction du PLQ, les tensions entre Ottawa et Québec, tout cela relance la question constitutionnelle, donc le partage des pouvoirs entre le gouvernement central et les provinces.

Il s’en trouve pour dire que c’est le retour des «chicanes» qui nous «divisent».

Ignorance ou mauvaise foi? Ça dépend qui le dit.

Ah, la «division»! Que de stupidités n’a-t-on pas dites en son nom !

Régime

D’abord, la démocratie, c’est l’organisation civilisée des divisions.

Province ou pays, il est normal que les gens aient des idées différentes et les expriment. Forcément, il y aura des divisions.

Ensuite, toute décision gouvernementale fait des heureux et des mécontents, donc elle «divise» par définition.

Dépenser ou pas, couper ou pas, ici ou ailleurs, aider un tel plutôt qu’un tel, toute décision mécontente, donc divise.

Mais fondamentalement, d’où vient et qui entretient la division sur le statut du Québec?

Cette division fut introduite par la Conquête britannique puisque, dès le départ, elle oppose ceux qui en profitent à ceux qui la subissent, et force chacun à choisir son camp.

Le régime néocolonial né en 1867 maintiendra et entretiendra cette division.

C’est en effet le régime canadien qui fait entrer des centaines de milliers d’immigrants auxquels il n’impose guère d’exigences d’intégration culturelle.

Dès lors, en leur permettant de vivre pratiquement comme dans leur pays d’origine, il accentue la division entre eux et le Québec français.

C’est aussi l’obsession multiculturaliste et woke du régime canadien qui classe les gens en fonction de leur couleur de peau, de leur religion, de leur orientation sexuelle.

En multipliant les catégories d’appartenance, c’est encore ce régime canadien, plus que quiconque, qui alimente les divisions.

Par une superbe ironie, ce sont souvent ceux qui déplorent le plus la division qui sont le plus rongés par elle.

Voyez le PLQ. Le ver de la division est enfoncé si profondément chez lui qu’il est écartelé entre la nécessité de plaire aux francophones dont il a besoin pour rebondir et la nécessité de ne pas déplaire aux anglophones qui le contrôlent.

Chaque fois qu’un élu libéral francophone a proposé, par exemple, un renforcement de la loi 101, l’aile anglophone l’a forcé à reculer.

La division introduite jadis par le conquérant mine même les nationalistes québécois, puisqu’elle dresse souvent les uns contre les autres ceux qui se contenteraient de protéger notre langue et ceux qui pensent que la seule protection durable ne pourra venir que du statut de pays souverain.

Couchés

Bref, déplorer la «division», c’est une façon perfide et grossière de nous dire de rester muets et couchés. Et cela dure depuis près de trois siècles.

C’est toujours celui qui regrette que vous ne pensiez pas comme lui qui déplore la «division».

Il est vrai que rester bien sages, afin de ne pas «diviser», c’est une bonne façon de recevoir des marques d’affection du maître et des biscuits en guise de récompense.

Joseph Facal




lundi 26 août 2024

Je me questionne réellement sur la possibilité qu'il y ait beaucoup de musulmans favorables à l'existence de l'état d'Israël ........

 Le Hezbollah au-delà d’Israël

Le Hezbollah menace d’entrer complètement en guerre contre Israël. Une telle guerre ne serait à l’avantage de personne, sauf du gouvernement iranien, pourvu qu’elle ne touche pas trop l’Iran, ce qui est douteux.

Comme l’ont montré les événements des 80 dernières années, la création d’Israël, en 1948, était une erreur. Cependant, la destruction d’Israël serait une erreur encore plus grande.

Cette destruction est souhaitée par un très grand nombre de musulmans. Elle est au cœur du projet politique des mollahs qui sont à la tête de l’Iran.

Projet plus vaste

Pour les dirigeants iraniens, la destruction d’Israël s’inscrit dans un projet encore plus vaste, soit nommément l’annihilation du pouvoir américain. Dans leurs plans, cet anéantissement peut survenir de deux manières principales.

Premièrement, les États-Unis peuvent être éjectés de la région, puis des endroits où ils ont des alliés, grâce à des mouvements terroristes qui aident à monter les populations contre eux.

Deuxièmement, le pouvoir américain peut aussi être défait par la propagation à travers le monde d’un l’islam fondamentaliste.

Les attaques du Hamas et du Hezbollah contre Israël, les attaques des Houthis contre des navires qui circulent en mer Rouge ou les attaques d’al-Qaïda obéissent toutes ultimement à cette double logique.

En ce sens, la défense de l’État israélien est devenue en partie synonyme de la lutte contre les régimes totalitaires islamistes.

Terreur et camouflage idéologique

Grâce à la terreur, le gouvernement iranien est parvenu à maintenir le Hamas au pouvoir à Gaza. Il fait la même chose avec le Hezbollah au Liban.

Ces deux mouvements terroristes camouflent leurs objectifs véritables en tentant de capturer et de monopoliser pour l’un le sentiment nationaliste palestinien et pour l’autre le sentiment nationaliste libanais.

Au fond, en 1979, l’ayatollah Khomeiny avait fait un peu la même chose en Iran en chassant le shah du pouvoir. Avec la complicité imbécile de bien des démocraties, en commençant par la France.

Les démocraties ne peuvent pas commettre la même erreur avec le Hezbollah ou avec le Hamas.

Aussi horrible que soit la guerre à Gaza, aussi tragiques que soient les massacres commis par le gouvernement de Benyamin Nétanyahou, ultimement, les gouvernements non islamistes n’ont pas d’autres choix que de soutenir Israël.

De même, les Palestiniens et les Libanais devraient réaliser que le Hamas et le Hezbollah sacrifient leurs intérêts nationaux à une seule cause: abattre Israël et les États-Unis, c’est-à-dire terrasser le petit et le grand Satan, pour reprendre leurs propres termes.

Les manifestants propalestiniens et prolibanais qui ne manqueront pas de descendre dans les rues de diverses villes à la faveur de la rentrée universitaire devraient bien comprendre que tout soutien au Hamas ou au Hezbollah est en réalité un appui à un immonde totalitarisme religieux.

Ceci par contre ne doit pas empêcher de dénoncer certaines politiques de Nétanyahou.

Loïc Tassé






dimanche 25 août 2024

Hypocrisie de facebook quand la femme amène beaucoup de trafic $$$$$ sur ses pages .....

 Il n'y a pas de censure pour ses mamelon ,,,,,


Note personnelle : Après mes expériences passées avec les censeurs de facebook, je suis certain que si je place cette photo sur ma page, je serai en pénitence pour un mois.


samedi 24 août 2024

Portrait du multiculturalisme de Trudeau ....


 

La très grande majorité des journalistes et des chroniqueurs sont des anti-Trump. Suite à leurs quotidiennes interventions qui l'accusent de menteur fraudeur, machos, etc., pour résumer. un pas fin. la plupart des Québécois sont contre lui.

 Les héros des Québécois lors du congrès des Démocrates

Sont-ils moins menteurs? Et ce n'est que le début de la campagne .....


Wonder Woman Harris a déclaré que si Donald Trump allait gagner la présidentielle, il limiterait l’accès à la pilule contraceptive et à l’avortement médicamenteux.

Cependant, depuis le début de la campagne électorale, le candidat républicain n’a pas affirmé qu’il allait imposer ces mesures. il a écrit sur le réseau Truth Social qu’il ne restreindrait pas l’accès à la pilule contraceptive et à la fécondation in vitro.

Son colistier, ou plutôt «Coach Walz», ne s’est pas lancé dans une défense des thérapies d’affirmation de genre pour les jeunes trans que protège dorénavant son État.

Il a plutôt évoqué la liberté pour les enfants de choisir les livres qu’ils lisent et se soustraire ainsi à la censure imposée dans tant d’États républicains.

Jared Polis, gouverneur du Colorado, a dénoncé un extrait du livre controversé Le Projet 2025 : la «page 451 indique que la seule famille légitime est celle d’un père et d’une mère mariés, où seul le père travaille». Il a raison sur le passage du couple hétérosexuel, mais il est faux de prétendre que seul l’homme devrait garder un emploi, selon le livre. Aucune citation ne précise que la femme devrait rester à la maison.

Nancy Pelosi n’a pas embarqué dans la manie de genrer tous les mots comme lorsqu’elle a conclu une prière au Congrès par «Amen and Awoman».

Elle a plutôt vanté le sens de la liberté et de la justice de Joe Biden, rappelé le péril qui a saisi la nation lors de l’assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021.

Alexandria Ocasio-Cortez n’a pas revendiqué le définancement de la police.

Elle s’est plutôt lancée dans une défense passionnée des petits salariés.

Cory Booker n’est pas revenu à la charge avec l’idée de déboulonner les statues.

Il a plutôt défendu la liberté d’aimer qui on veut, la liberté de choix pour les femmes.

La perfection n'existe pas, surtout en politique.


Les trois grands principes de la laïcité.

Le premier, c’est celui de la liberté de conscience.

La laïcité donne à chacun le droit de croire à la religion qu’il veut, de changer de religion, ou de ne pas avoir de religion.

Cela signifie aussi qu’on ne peut forcer quelqu’un à croire à une religion et à se plier à ses règles.

Il est donc important que l’école publique soit laïque en droit et en pratique, pour que des enfants ne soient pas endoctrinés et puissent ultérieurement faire leurs propres choix.

Le second principe est celui de la séparation de l’État et des religions.

L’État ne doit pas favoriser une religion en particulier, d’où le retrait du crucifix de notre parlement et des écoles publiques.

Dès lors, le régime politique tirera sa légitimité du peuple et non d’une autorité divine, même si les devises, les drapeaux, la monnaie, etc., pourront conserver des références religieuses devenues patrimoniales.

La religion ne devrait pas non plus guider les décisions de l’État, d’où l’importance que ses représentants soient neutres en pratique et en apparence.

Le troisième grand principe, c’est l’égalité de tous devant la loi.

Dès lors que l’État est neutre, il ne saurait donner un droit ou un privilège à quelqu’un parce qu’il appartient à une religion particulière.

L’État prendra ses décisions en se fondant sur ce qui est commun à tous – la condition de citoyen, d’électeur, de contribuable, etc. – plutôt que sur ce qui distingue chaque personne.

Il sera, si je puis dire, aussi indifférent à une religion qu’il devrait l’être à une couleur de peau.

Les modalités concrètes d’application varieront d’un pays à l’autre, d’une époque à une autre.



Quand même bizarre que ce soit le gouvernement libéral fédéral du minable Justin qui ruine la sécurité du plus meilleur pays du monde de Chrétien ....

 Je ne me ferai pas d’amis dans certains milieux, mais je me pose une question délicate concernant le sujet le plus délicat qui soit, c’est-à-dire l’immigration. 

Le ministre fédéral de l’Immigration, Marc Miller, a annoncé la création d’un programme spécial qui permettra au Canada d’accueillir des milliers de réfugiés coincés dans la bande de Gaza.


Parfait.

Ces gens vivent un calvaire et c’est normal que l’Occident leur ouvre les bras.

Mais il ne faut pas se mettre la tête dans le sable non plus.

Les civils palestiniens ne sont pas tous blancs comme neige.

PAS DE FILTRE

Plusieurs civils gazaouis appuient le Hamas, qui est reconnu par le Canada comme un groupe terroriste.

Plusieurs civils gazaouis ont applaudi chaleureusement les terroristes du 7 octobre lorsque ceux-ci sont revenus de leur pogrom, des otages israéliennes maculées de sang attachées dans la boîte de leur camion, comme si elles étaient du vulgaire bétail, des trophées de chasse.

Plusieurs civils gazaouis ont accepté de garder des otages israéliens chez eux.

Plusieurs civils gazaouis ont profité de l’attaque sauvage du 7 octobre pour piller des maisons de civils israéliens.

Plusieurs victimes israéliennes ont été prises en otage par des civils palestiniens, qui les ont ensuite vendues au Hamas.

Plusieurs civils palestiniens ont participé activement à l’attentat du 7 octobre.

Tout ça est documenté.

Il est faux de dire que tous les civils de Gaza vivent sous la coupe du Hamas et rêvent de se débarrasser de ce groupe.

Plusieurs pensent que les terroristes du Hamas sont des héros, des résistants, des modèles à imiter.

Gaza est sous le contrôle du Hamas depuis 2006. Ce groupe terroriste a laissé une forte empreinte sur la population. Ça fait 18 ans que les enfants gazaouis apprennent à l’école que les Juifs sont des ennemis à abattre.

Veut, veut pas, ce genre de propagande laisse des traces, modèle les esprits...

Ce qui nous amène à la question quiz du jour: c’est bien beau, accueillir des milliers de réfugiés palestiniens, mais allons-nous les filtrer?

Comment allons-nous faire pour nous assurer qu’aucun terroriste, aucun responsable du pogrom du 7 octobre ne profitera de notre générosité?

Qui s’assurera que nous ne laisserons aucun individu dangereux entrer au pays?

La vérité est qu’il n’y aura aucune forme de «filtrage».

LE GOUVERNEMENT DOIT NOUS PROTÉGER

Vous vous dites peut-être que je m’inquiète pour rien.

En juillet dernier, un père et son fils qui «en étaient à un stade avancé de la planification d’une attaque terroriste grave et violente à Toronto» ont été arrêtés par la GRC.

Ces deux immigrants originaires d’Égypte étaient membres de l’État islamique.

Ont-ils éprouvé des difficultés à venir s’établir chez nous? Non. Aucune.

En 2015, l’un des deux accusés (le père) avait même été filmé alors qu’il démembrait un otage pour le compte de l’État islamique! Cela ne l’a pas empêché d’immigrer au Canada et d’obtenir sa citoyenneté!

Je vous parlais jeudi d’un «savant islamiste» antisémite qui effectue actuellement une tournée au Canada et qui devait prononcer une conférence demain à Montréal (conférence dont la tenue est à tout le moins compromise, depuis que le Rialto a refusé de l’accueillir, à la suite à de nombreuses réactions négatives).

L’homme ne cesse de dire que les Juifs sont des ennemis à abattre. Il est considéré comme un sage par de nombreux musulmans. Pas pour rien qu’on a décidé de le faire venir au pays!

Parce qu’il est une star. Parce qu’on sait qu’il va remplir des salles.

Il ne faut pas être naïf!

Oui, nous avons le devoir d’accueillir des réfugiés.

Mais nous avons aussi le devoir de nous protéger.

Or, je pose la question: le ministre de l’Immigration Marc Miller peut-il nous assurer que tous les moyens seront pris par le Canada afin de s’assurer qu’aucun terroriste ou sympathisant terroriste ne profitera de ce nouveau programme d’accueil des réfugiés?

En novembre 2023, ils étaient trois millions de demandeurs d’asile à attendre le traitement de leur dossier aux États-Unis. Un record.

Un nombre supérieur à la population de Chicago (source: USA Today).

En Angleterre, le nombre de demandeurs d’asile a aussi atteint un nombre record en 2024. (Source: The Telegraph).

Quoiqu’en disent les wokes, l’Occident est généreux, bienveillant, compatissant, et ouvre grandes ses portes.

Mais faisons-nous tout ce qui doit être fait pour protéger nos citoyens?

On a parfaitement le droit de poser cette question.

Richard Martineau