Trump est fasciste, mais c’est le Canada qui protège les nazis!
Les noms de 900 nazis gardés secrets pour protéger l’intérêt national
Les progressistes s’inquiètent de voir les États-Unis basculer dans le fascisme depuis l’élection de Donald Trump.
Or, c’est le Canada qui a un problème de nazis. Le jour même de son élection, on a appris qu’il y en a eu au moins 900. Encore mieux, il est préférable de taire leurs noms!
Bienvenue au Canada de Justin Trudeau, le pays du «faites ce que je dis, pas ce que je fais».
Sauver la face
Le triste cas de Yaroslav Hunka, cet ancien nazi qui a servi au sein de la 14e division Waffen-SS Galicia, invité lors de la visite du président Zelensky l’an dernier, nous a rappelé que le Canada a toujours eu un problème de nazis.
Or, on sait maintenant qu’au moins 900 criminels de guerre sont venus s’installer ici en toute impunité.
Qui sont-ils? Comment sont-ils entrés? Pourquoi ont-ils échappé à la justice? On ne le saura jamais.
Bibliothèque et Archives Canada vient de déterminer que c’est mieux de ne pas déclassifier la liste pour «ne pas nuire aux relations internationales et intérêts du Canada».
La Russie a ouvert ses archives, la police secrète est-allemande a ouvert ses archives. Les États-Unis ont ouvert leurs archives. Mais au Canada, la vérité ne compte pas. Mieux vaut sauver les apparences.
Tout est politique
On ne peut malheureusement être surpris.
La vice-première ministre Chrystia Freeland, elle-même d’origine ukrainienne, a fait passer les enquêtes sur le passé douteux de son grand-père pour de la désinformation russe.
On tolère qu’il y ait encore des monuments en l’honneur d’unités nazies et d’antisémites notoires aux quatre coins du pays sous prétexte de ne pas indisposer la communauté ukrainienne.
Dans le Canada postnational, la réputation de chaque communauté passe avant le bien commun.
Plus facile de se complaire dans une vision vertueuse que de confronter la vraie histoire du pays.
E.L.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire