Au Québec, une journaliste peut tenir des propos haineux relevant de la généralisation abusive la plus grossière comme si cela allait de soi. Essayons seulement d'imaginer la réaction si elle parlait ainsi d'un autre groupe.
Je lis cela et je me dis: est-ce qu'elle se rend simplement compte de ce qu'elle écrit? À l'origine de la bêtise, on trouve souvent une terrible ignorance. Mais il y a tellement de hargne et de haine dans ce message que je suis obligé d'y voir, je le redis, un discours haineux.
Hélas, la haine anti-québécoise est devenue un marqueur distinctif du progressisme mondain. On veut même nous faire croire qu'il s'agit d'un exercice de lucidité collective au nom de l'amour de l'humanité. À travers cela, on prend la pose, et on affiche sa vertu «woke» en passant pour courageux et transgressif. C'est en crachant sur le grand méchant homme blanc qu'on progresse socialement aujourd'hui.
Un dernier mot: nous connaissons la méthode de ceux qui appartiennent à cette mouvance. Ils nous vomissent au visage et ensuite, quand quelqu'un répond trop vertement, ses membres vont se plaindre publiquement en se victimisant. Alors je vous invite à commenter avec flegme ce texte, si vous tenez à le commenter.
Ils nous vomissent dessus. Ne tombons pas aussi bas qu'eux
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