Dans la métropole où des communautés entières se permettent de vivre sans apprendre le français, un premier ministre qui n’est jamais parvenu à maîtriser la langue de son père, Justin Trudeau, a reçu un président content de se mettre à parler en anglais seulement, Emmanuel Macron.
Comment peut-on trouver une once de respect pour ce duo Macron/Trudeau qui se permet d’insulter le Québec, le deuxième plus grand État de la francophonie, alors même qu’ils devaient discuter du sommet de ladite francophonie, cette organisation qui coûte cher et qui ne sert à rien?
La seule consolation: ces deux personnages politiques sont électoralement condamnés.
Immigration massive
Pendant que les loyers explosent, que les maisons deviennent inaccessibles et que les villages de tentes se multiplient sur le bord de nos routes, Justin Trudeau continue d’essayer de culpabiliser le Québec et François Legault en nous reprochant de ne pas embrasser l’immigration massive imposée...
En réponse à une provocatrice se réclamant de la Palestine, qui a bien sûr apostrophé le président français en anglais, Emmanuel Macron lui a répondu dans la langue de Shakespeare...
Dans une ville dont la mairesse oublie parfois de parler en français, on peut comprendre le président!
Je ne trépigne pas d’admiration au sujet du gouvernement bleu pâle et lâche de la CAQ. Je me dis toutefois que François Legault et que ses ministres ont bien fait de se trouver des raisons diplomatiques de ne pas assister à ce souper Macron/Trudeau qui aurait été pour eux un «dîner de cons»!
Angliciser au nom de la Palestine
Non contents d’arracher le gazon devant McGill ou de fracasser des vitrines d’honnêtes commerçants, nos excités coiffés de keffiehs gueulent des slogans en anglais jusque dans le Village...
Mais comme Trudeau et Macron nous le répètent allègrement, il faut se réjouir de cette immigration qui nous anglicise.
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