Rendu à mon âge, je n'ai pas de temps à perdre à essayer de plaire à tout le monde. Je dis ce que je pense sans aucune censure. Lire et écrire sont devenues mes occupations principales.
vendredi 31 juillet 2020
Pourquoi on accepte ça depuis 153 ans
Fête du sacrifice des moutons et de l'innocence des enfants.
C'était la fête du sacrifice sanguinaire de la secte moyenâgeuse, Aïd al-Adha.....
jeudi 30 juillet 2020
Un autre exemple que l'islam est en mode conquête.....
La réaction de la complotiste Stella Immanuel à la fermeture de sa page facebook n'est pas pour améliorer sa crédibilité.......
Hello Facebook put back my profile page and videos up or your computers with start crashing till you do. You are not bigger that God. I promise you. If my page is not back up face book will be down in Jesus name.
Stella Immanuel MD
ADN d'extra-terrestres. Complots reptiliens. Hydroxycholoroquine. Sperme de démons... « L'experte » citée par Jeff Fillion, Maurais Live et les moutons de Radio X invoque maintenant la puissance de Dieu contre Facebook à la suite de la fermeture de sa page.....
Un monde de fous qui est complètement déboussolé.......
mercredi 29 juillet 2020
Même un candidat à la chefferie du Parti conservateur du Canada, Erin O’Toole se rend compte que les universités sont devenues des lieux de censure. Pourtant, une des missions premières des universités est de promouvoir les débats d'idées....
Les gnochons et le drapeau.... par Mathieu Bock-Côté
La scène a fait le tour du web.
• À lire aussi: Il s’excuse d’avoir «brimé» une journaliste
• À lire aussi: L’intimidation envers des journalistes dénoncée
• À lire aussi: Des agressions répétées en ondes
La journaliste Kariane Bourassa couvrait dimanche la manifestation antimasques à Québec quand deux hommes se sont permis de l’enserrer pour lui faire un « câlin ».
C’est la nouvelle mode, apparemment : pour braver la COVID, pour prouver qu’on n’a peur de rien, on s’enlace publiquement.
Masque
Sauf que la journaliste n’avait rien demandé de tel, et dans les circonstances, cette accolade forcée n’avait rien de sympathique. C’était un geste invasif, hostile, dissimulé derrière un sourire.
Il y a de quoi se poser la question : comment se fait-il que certains hommes, dès qu’ils se sentent désinhibés, se transforment en gorilles ? Qu’est-ce qui déclenche dans leur tête le droit de s’emparer d’une femme ainsi ?
En fait, ces jours-ci, les gestes inquiétants se multiplient.
La veille, son collègue, Yves Poirier, s’était fait entourer à Montréal par des manifestants hostiles l’insultant copieusement, comme s’ils voulaient le lyncher symboliquement. Ils ne se contentèrent pas de le critiquer de manière civilisée. Ils se comportèrent à son endroit de manière barbare. On se sent toujours fort en bande contre un homme seul.
Ce qui ressortait de ces deux scènes témoigne d’un empoisonnement de la vie sociale. Certains militants antimasques semblent tentés par la violence physique. Nous savons que nous entrons dans une époque tendue. Mais la situation se dégrade à grande vitesse, comme si certains interdits et certaines normes permettant aux gens de cohabiter de manière civilisée s’effondraient sous nos yeux.
Les codes culturels américains dans ce qu’ils ont de pire semblent s’imposer chez nous. Souhaite-t-on vraiment importer chez nous la violence de nos voisins du sud ?
Chose certaine, les réseaux sociaux, qui prennent une place croissante dans la vie sociale, contribuent à créer des mondes parallèles où les gens ne se parlent pas et apprennent à se détester à temps plein. Et cet univers virtuel devient leur principal lieu d’interactions sociales.
Je veux bien croire qu’on doute des vertus du masque et qu’on se questionne devant les discours contradictoires de la Santé publique. Je veux bien croire qu’Horacio Arruda ne fait plus l’unanimité et qu’on critique sa gestion de la pandémie. Je comprends parfaitement qu’on trouve pénible cette période, même s’il ne faut pas oublier que les présentes mesures sont temporaires. Et je suis convaincu que bien des manifestants étaient de bonne foi.
Mais une certaine manière de protester contre le masque fait remonter à la surface une vision quasi paranoïaque de la société. Le désir de liberté vient s’y avilir.
Colère
Le général de Gaulle, citant Shakespeare, disait qu’un homme se grandit en embrassant une grande querelle. Celle qui domine les jours présents me semble bien petite.
Bien des Québécois peinent à sortir leur drapeau pour lutter contre le déclin de la langue française ou pour soutenir l’indépendance, mais le brandissent désormais dans des happenings douteux où des brutes sévissent.
Ils le salissent en l’associant à de tels comportements. Le patriotisme québécois ne devrait pas servir à justifier les hurlements de la meute lyncheuse.
mardi 28 juillet 2020
lundi 27 juillet 2020
Petite suggestion pour les racisés qui se disent victimes de profilage, quand tu te fais interpeller par un policier, ferme ta gueule et arrête d'argumenter, il y a des lois pour te protéger. Cesse de faire un spectacle.....
Encore une fois, je constate que les censeurs de facebook sont des incompétents ou qu'ils ciblent certaines pages qui ne rapportent pas de $$$ par la publicité ....
Voici deux parutions qui sont apparues sur ma page aujourd'hui
-
Réfléchissez un peu si vous en êtes capable, l'an dernier elle n'était qu'une no body solitaire et maintenant, avec l'aide ...
-
Élection du 1er octobre 2018, 6 169 772 Québécois sont inscrit sur les listes électorales. 33,54%, soit 2 069 342 sont trop lâches, trop...