mercredi 28 août 2019

Djemila devra se mettre au boulot très rapidement....

#Belgique #Flandre: port des signes religieux ostentatoires pour les élèves: Un tribunal contre une école.
Commençons par un simple rappel: pour les enseignants la question est réglée dans l'ensemble du pays dans le réseau public. On ne s'imagine pas confier des élèves à des enseignants qui confondent leurs fois avec leurs fonctions.
Alors que restent-ils ? Les élèves pardi!
Il n'y a pas de règle générale d'interdiction des signes religieux ostentatoires pour les élèves comme en France avec la loi de 2004. Par contre, on comprend bien, ici, la nécessité de protéger les enfants des idéologies religieuses et politiques et surtout, de préserver l'école des luttes intestines qui traversent nos sociétés. En Belgique, il revient aux écoles d'interdire ou d'autoriser les élèves à porter les signes conventionnels. La plupart opte pour l'interdiction. C'est même la norme.
Rien n'est réglé! Peuvent survenir des décisions judiciaires opposées à cette norme. C'est le cas pour cette école. Le tribunal renverse la règle établie par l'école. On en est là aujourd'hui.
Le militantisme islamiste dans le milieu scolaire est très présent et menace le large consensus social. Ici, les islamistes et leurs alliés sont à l'oeuvre pour faire main basse sur l'école. Ils utilisent les mêmes stratégies qu'ailleurs. Ils jouent la carte de la victimisation et instrumentalisent les tribunaux. Pour eux, le modèle à suivre c'est bien celui du Canada et de l'Angleterre, deux pays qu'ils citent souvent en exemple. Pays multiculturalistes par excellence où l'on estime qu'une enseignante peut porter le voile intégral et se présenter devant une classe. Remettre en cause cette aberration relèverait même du racisme, soutiennent nos médias dominants. Enfin, vous connaissez leur logorrhée...
Nous ne laisserons pas les islamistes torpiller nos acquis. Nous les combattrons. Ça commence par la bataille de l'école.
Elle est décisive. C'est d'ailleurs la bataille de l'heure. La plus importante. Car c'est à l'école que l'avenir se joue. Comme l'expliquait Jean Zay, ministre français de l’éducation nationale de 1936 à 1939 sous les divers gouvernements du Front Populaire : « les écoles doivent rester l’asile inviolable où les querelles des hommes ne pénètrent pas ». C’est le fondement philosophique de l’argumentaire de cette interdiction.
Voilà des nouvelles de mon nouveau pays d'adoption, la Belgique.
Vous voyez ...pas beaucoup de changement dans les thématiques avec le Québec.
C'est donc à suivre ...
D'ici là, portez-vous bien des deux côtés de l'Atlantique mes chers amis.

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